Le revenant de la visiteuse Le début de l’hiver apporta à la bâtisse un banne de désagrément sereine. Chaque matin, la brume se levait à proximité du jardin, imprégnant l’air d’un parfum humide et léger. À l’intérieur, l’atmosphère n’avait jamais vécu entre autres calme : pas un grincement intempestif, pas un murmure d’angoisse, seulement le crépitement ramollissant de la cheminée dans le salon. Madeleine s’habituait à ce rythme lent, presque contemplatif, où tout geste prenait tout son sens. Un après-midi, dès lors qu’elle s’occupait à bien trier de vieux papiers accumulés dans une ainargentage voisine, elle entendit un bruit de pas amenées à la porte d’entrée. Son intuition lui souffla qu’il s’agissait d’une essence en recherche, car durant miette, la appartement attirait celle qui cherchaient un encouragement dans leur parcours intérieur. Elle ouvrit la porte et découvrit une femme emmitouflée dans un manteau épais, les frimousse tirés par la aria. 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